29 févr. 2008
- Why the only English mayor in France is worried about losing his kingdom
If you were to invent a perfect French village it would be Saint Céneri-le-Gérei. There is an old bridge over a babbling river. There are buildings of warm, grey stone, scattered among the wooded slopes of a narrow valley, overlooked by green hills...
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- Why the only English mayor...
Why the only English mayor in France is worried about losing his kingdom ?
par John Lichfield
Extrait : If you were to invent a perfect French village it would be Saint Céneri-le-Gérei. There is an old bridge over a babbling river. There are buildings of warm, grey stone, scattered among the wooded slopes of a narrow valley, overlooked by green hills.
AFP/Getty Images
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27 févr. 2008
26 févr. 2008
- le "darling des médias "
Depuis son intervention sur France culture, le maire de Saint-Céneri-le-Gérei n'a plus une minute à lui. Il mène ses campagnes entre deux interviews.
Courte barbe blanche, moustache, cheveux bien coiffés, pantalon de velours côtelé, Ken Tatham est un monsieur distingué. Son accent, à peine perceptible après 41 ans passés en France, rappelle ses origines britanniques. Né dans le nord de l'Angleterre il y a 62 ans, il ne pensait pas du tout s'engager dans la politique et encore moins outre-Manche. « Je suis arrivé en France pour épouser ma femme. Nous devions ensuite nous installer en Afrique du Sud, mais nous sommes finalement restés. Ce n'est qu'après une rencontre avec François Bayrou que je suis entré en politique, par la petite porte. »
Vendredi 15 février sur France culture, Ken Tatham était l'invité de l'émission « Travaux publics », sur le thème « Migrations dans le Perche ». Depuis, tous les médias se l'arrachent. À croire que l'accent british du maire franco-anglais de Saint-Céneri-le-Gérei, dans l'Orne, a provoqué un séisme dans le monde de la presse.
La BBC, l'AFP, Le Times, TF1... tous ont fait écho de sa candidature aux cantonales sur Alençon 1, face à Joaquim Pueyo.
« Le seul maire anglais de France », comme il se présente lui-même, s'amuse de cette ferveur soudaine. « Certains médias m'avaient déjà suivi lors de ma première candidature à Saint-Céneri, puis lors des élections européennes avec Jean-Louis Borlanges. Mais c'est vrai que là, c'est un peu démesuré. »
Après quatre décennies dans l'Hexagone, un mai 68 passé à Paris et la double nationalité acquise en 1993, Ken Tatham se sent plus français qu'anglais. « Même si on n'oublie jamais ses origines, j'avoue que tous mes amis ici sont Français. »
Il a pourtant mis en place un groupe de conseil aux nouveaux arrivants... anglais, qui, perdus dans notre système administratif, cherchent une épaule amie sur laquelle s'appuyer. « Et j'ai aussi expliqué à des Anglais de ma commune qu'ils pouvaient s'inscrire sur les listes électorales, car ils ne le savaient pas... »
Audrey TAMINE.
25 févr. 2008
- un maire "so british" en Normandie
62 ans, Ken Tatham est "le seul maire anglais de France". Il vise un troisième mandat à la tête de son village de Saint-Céneri-le-Gérei, dans l'Orne. Mais il se lance aussi, pour la première fois, dans les élections cantonales.
Ken Tatham, 62 ans, est candidat sans étiquette - bien que membre du Nouveau centre - à Alençon 1, le plus peuplé des cantons de l'Orne avec près de 20.000 habitants. Il croit en ses chances face au socialiste Joaquim Pueyo, à la tête du canton depuis dix-neuf ans, candidat à la mairie d'Alençon et directeur du centre pénitentiaire de Fleury-Mérogis (Essonne), le plus grand d'Europe.
Ecouter l'intervention sur RTL
- La télévision anglaise en tournage dans l'Orne
La BBC, principale chaîne de télévision anglaise, a choisi l'Orne pour illustrer un reportage qu'elle réalise sur la France à l'occasion des élections municipales. Après avoir interrogé le maire franco-anglais de Saint-Cénéri-le-Gérei, Ken Tatham, la BBC a installé ses caméras dans notre rédaction départementale, vendredi, à Alençon, pour montrer comment notre journal traitait ces élections locales. « En Angleterre, nous sommes étonnés par le nombre de communes en France, commente Emma-Jane Kirby, correspondante de la BBC à Paris. Nous voulons savoir s'il est possible de réduire le nombre d'échelons administratifs, comme le préconise le rapport Attali. Au final, ce qui nous intéresse, c'est de savoir si la France est réformable. » Vaste sujet, en effet.
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21 févr. 2008
- 20 minutes
Extrait :
Originaire de Leeds, dans le nord de l'Angleterre, Ken Tatham vit depuis 40 ans dans ce bourg de 140 habitants blotti dans un méandre de la Sarthe et classé parmi les 100 plus beaux villages de France.
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- Aol Actualité
Après la mairie, les cantonales: un Anglais de Normandie se prend au jeu
Extrait :
"Comme je suis à la retraite depuis un an, j'ai du temps pour relever ce nouveau challenge", explique avec un léger accent Ken Tatham, 62 ans, candidat sans étiquette -bien que membre du Nouveau centre- à Alençon 1, le plus peuplé des cantons de l'Orne avec près de 20.000 habitants[...]
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20 févr. 2008
- Normandie : la promenade d'un anglais
NORMANDIE: LA PROMENADE D'UN ANGLAIS
Originaire de Leeds (nord de l'Angleterre), Ken Tatham vit depuis 40 ans à Saint-Céneri-le-Gérei (Orne), 140 habitants, classé parmi les 100 plus beaux villages de France. Un bourg à la tête duquel il compte bien assurer un troisième mandat. Mais non content d'être "le seul maire anglais de France", il va se lancer aussi dans les élections cantonales. "Un nouveau challenge" pour ce retraité de 62 ans, candidat sans étiquette.
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- La voix du Nord
Extrait :
Courte barbe et cheveux blancs, vêtu d’un costume gris sur un pull noir, Monsieur le maire croit en ses chances face au socialiste Joaquim Pueyo – né à Alençon d’un père espagnol –, à la tête du canton depuis dix-neuf ans, candidat à la mairie d’Alençon et directeur du centre pénitentiaire de Fleury-Mérogis (Essonne), le plus grand d’Europe[...]
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19 févr. 2008
- Yahoo France (AFP)
Originaire de Leeds, dans le nord de l'Angleterre, Ken Tatham, maire de Saint-Céneri-le-Gérei, 18 février 2008
Ken Tatham, qui se présente comme "le seul maire anglais de France", vise un troisième mandat à la tête de son village de Saint-Céneri-le-Gérei (Orne) mais se lance aussi, pour la première fois, dans les élections cantonales.
- Dynamiser l'économie du canton Alençon 1
Les mesures de Ken Tatham pour dynamiser l'économie du canton Alençon 1
"Dynamiser l’activité économique dans l’Orne doit être au cœur de nos préoccupations ; le Conseil Général est un acteur de premier plan pour soutenir cet impératif départemental.
L’artisanat est en France le premier employeur, or nombre de PME/PMI ne sont pas créées ou reprises faute de soutiens financiers. Ils sont nombreux sur notre territoire les jeunes diplômés à vouloir vivre du fruit de leur travail, de leurs connaissances. Au cours des cinq prochaines années, dans l’Orne, ce sont 3000 des 15000 entreprises qui verront leur dirigeant partir en retraite. Qui reprendra leur affaire ?
Parce que j’ai moi-même créé une entreprise et rencontré les tourments financiers et administratifs de beaucoup d’entrepreneurs. Parce que les partenaires financiers offrent leurs concours aux forces créatives et économiques moyennant des garanties, nous devons réagir. Certes, nous ne partons pas de rien. Les collectivités locales sont présentes aux côtés des entrepreneurs mais cela ne suffit pas. Il nous faut aller plus loin, l’attractivité de l’Orne en dépend.
Je propose que le Conseil Général puisse se porter caution solidaire des créateurs ou repreneurs de PME/PMI, et ce de manière plus souple pour que le plus grand nombre puisse en profiter.
Un projet bien porté, financé et cautionné, c’est de l’activité économique, des emplois créés, des rentrées fiscales, bref un formidable appel d’air économique pour l’Orne. Cette proposition, d’un coût largement acceptable, je m’engage à la défendre pour que l’Orne garde ses jeunes et soit le département attractif que nous espérons tous."
Ken Tatham
"Dynamiser l’activité économique dans l’Orne doit être au cœur de nos préoccupations ; le Conseil Général est un acteur de premier plan pour soutenir cet impératif départemental.
L’artisanat est en France le premier employeur, or nombre de PME/PMI ne sont pas créées ou reprises faute de soutiens financiers. Ils sont nombreux sur notre territoire les jeunes diplômés à vouloir vivre du fruit de leur travail, de leurs connaissances. Au cours des cinq prochaines années, dans l’Orne, ce sont 3000 des 15000 entreprises qui verront leur dirigeant partir en retraite. Qui reprendra leur affaire ?
Parce que j’ai moi-même créé une entreprise et rencontré les tourments financiers et administratifs de beaucoup d’entrepreneurs. Parce que les partenaires financiers offrent leurs concours aux forces créatives et économiques moyennant des garanties, nous devons réagir. Certes, nous ne partons pas de rien. Les collectivités locales sont présentes aux côtés des entrepreneurs mais cela ne suffit pas. Il nous faut aller plus loin, l’attractivité de l’Orne en dépend.
Je propose que le Conseil Général puisse se porter caution solidaire des créateurs ou repreneurs de PME/PMI, et ce de manière plus souple pour que le plus grand nombre puisse en profiter.
Un projet bien porté, financé et cautionné, c’est de l’activité économique, des emplois créés, des rentrées fiscales, bref un formidable appel d’air économique pour l’Orne. Cette proposition, d’un coût largement acceptable, je m’engage à la défendre pour que l’Orne garde ses jeunes et soit le département attractif que nous espérons tous."
Ken Tatham
- Le parisien.fr
- Un Anglais de Normandie se prend au jeu
Après la mairie, les cantonales: un Anglais de Normandie se prend au jeu
Originaire de Leeds, dans le nord de l'Angleterre, Ken Tatham, maire de Saint-Céneri-le-Gérei.
Ken Tatham, qui se présente comme "le seul maire anglais de France", vise un troisième mandat à la tête de son village de Saint-Céneri-le-Gérei (Orne) mais se lance aussi, pour la première fois, dans les élections cantonales.
"Comme je suis à la retraite depuis un an, j'ai du temps pour relever ce nouveau challenge", explique avec un léger accent Ken Tatham, 62 ans, candidat sans étiquette -bien que membre du Nouveau centre- à Alençon 1, le plus peuplé des cantons de l'Orne avec près de 20.000 habitants.
Courte barbe et cheveux blancs, vêtu d'un costume gris sur un pull noir, M. le maire croit en ses chances face au socialiste Joaquim Pueyo, à la tête du canton depuis 19 ans, candidat à la mairie d'Alençon et directeur du centre pénitentiaire de Fleury-Mérogis (Essonne), le plus grand d'Europe.
Né à Alençon d'un père espagnol, Joaquim Pueyo, estime aussi que le fait d'avoir "des origines diversifiées et hétérogènes est une richesse, mais qui ne détermine pas forcément la valeur de l'élu ou du citoyen".
"Nous sommes dans un monde ouvert et c'est un plus d'avoir dans notre corps de maires de l'Orne un maire anglais", se félicite également Alain Lambert, président UMP du conseil général de l'Orne, sénateur et ancien ministre du Budget de Jean-Pierre Raffarin, mais aussi conseiller municipal à Saint-Céneri.
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17 févr. 2008
- Emission France Culture / Travaux Publics
Le vendredi 15 février, Ken Tatham était invité avec d'autres élus ornais d'origine étrangère a participer à un diner débat au Reveillon Jazz Café à côté de Mortagne au Perche. L'animateur Jean Lebrun de France Culture a animé le programme Travaux Publics avec brio en tandem avec la ville de Pessac.
Cliquez ici pour écouter l'émission
Article de Ouest France à ce sujet
« France culture » s'intéresse aux étrangers du Perche
L'animateur de « France de culture », Jean Lebrun, a présenté son émission « Travaux publics » en direct du Réveillon jazz café, à Réveillon dans le Perche ornais, sur le thème « Les étrangers dans le Perche ».
Deux jours durant, la radio France culture s'est intéressée au Perche ornais. Reportage avec des élus locaux d'origine étrangère, lors du direct de vendredi soir au Réveillon jazz café.
Difficile de trouver une place de stationnement, vendredi soir, sur la place du bourg de Réveillon. Pour le deuxième jour consécutif, cette petite commune du Perche ornais reçoit France culture.
« Travaux publics » plus exactement. L'émission de Jean Lebrun qui part de Paris à la rencontre de la province, petites ou grandes cités, deux jours par semaine. À la rencontre d'un public dont l'animateur veut faire des questionneurs et des chroniqueurs du temps moderne.
Et voilà tout ce petit monde rassemblé au Réveillon jazz café. Vieilles pierres blanches et poutres apparentes, tables un peu défraîchies et nappes à fleurs. Il est 18 h 20, antenne dans dix minutes. Jean Lebrun termine de placer ses invités. C'est lui qui, micro en main, se déplacera de tables en tables.
Détendu, il boit une dernière petite gorgée d'eau avant de débuter. Et puis c'est l'heure, celle de parler du Perche, de ses résidents étrangers et de ses élus venus d'ailleurs. Autour des tables, il y a un artiste japonais, un autre tunisien, le maire d'origine néerlandaise de Boissy-Maugis, l'adjoint slovène au maire de Mamers.
Il y a aussi un monsieur du cru qui a un peu de mal à accepter que des ressortissants de l'Union européenne puissent être élus. Il lâche tout cru : « Je me considère presque comme un étranger ici. Je pense qu'il y a peu d'autochtones dans la salle ! » Ça en agace un autre de l'autre côté du bar qui lance juste : « Je m'insurge ! »
Jean Lebrun fait un rapide historique de l'émigration percheronne vers le Québec et le Canada. Puis revient à l'actualité du jour : ces élus qui nous viennent de l'étranger. Voilà le maire de Boissy-Maugis, Anske Koning, d'origine hollandaise : « Lorsque je me suis présenté pour la première fois, ça n'a pas été facile. Je me rappelle d'une inscription « Boissy aux Français ! » Ça m'a profondément marqué mais j'ai été élu et la paix est revenue. »
L'adjoint slovène au maire de Mamers raconte, lui, qu'il a trouvé un jour toutes les serrures de ses « portes bloquées par du chewing-gum ».
À une autre table, c'est Kenneth Tatham, maire de Saint-Céneri-le-Gérei, qui n'est pas dans le Perche mais qui est bien anglais. Et raconte : « Ma femme était déjà conseillère municipale. Et je lui disais tout le temps : « Il faut faire ceci, il faut faire cela. » Un jour, elle m'a répondu : « Tu n'as qu'à te présenter. » C'est ce que j'ai fait, j'ai été élu d'une voix ! »
Au fil de l'eau, jean bleu, blazer recouvert d'un pull-over, Jean Lebrun mène sa barque sur les méandres percherons. Juste interrompu par le patron-trompettiste des lieux, Bob Tinker, et le régional de l'étape, le pianiste de jazz aux cheveux poivre et sel, René Urtreger. Voilà la magie du Perche et de « Travaux publics », où l'on évoque des questions ô combien sérieuses, rythmées par un musicien talentueux qui a joué avec Miles Davis, Chet Baker ou Stéphane Grappelli.
Tout cela dans un petit bar d'un non moins petit village.
Vincent COTINAT.
15 févr. 2008
- Ken Tatham présente sa liste
Ken Tatham, maire sortant, présente sa liste pour les élections municipales.
Ken Tatham, maire sortant, présente sa liste pour les prochaines élections municipales, liste marquée par une grande stabilité de l'équipe et la présence d'Alain Lambert, président de la Communauté urbaine d'Alençon et du Conseil Général de l'Orne.
Tatham Ken, 62 ans, consultant en marketing retraité, maire sortant. Le Royer Bernard, 67 ans, retraité de la banque. Romet Christophe, 45 ans, ébéniste restaurateur. Guilmeau Arsène, 61 ans, retraité, démonstrateur d'engins. Hébert Dominique, 68 ans, directeur d'entreprise retraité. Le Royer Monique, 65 ans, restauratrice retraitée. Foret Philippe, 61 ans, expert comptable. Lambert Alain, 61 ans, ancien notaire. Douard Monique, 40 ans, enseignante. Marquet Richard, 30 ans, responsable entretien technique. Andrieux Olivier, 29 ans, responsable chaînes de production.
14 févr. 2008
- Alençon 1 : Ken Tatham souhaite des crèches à horaires élargis
Ken Tatham, maire de Saint-Cénéri et candidat Modem aux élections cantonales dans le canton d'Alençon 1, plaide pour la création de crèches famililes à horaires élargis. « Nous pourrions organiser la réunion de plusieurs assistantes maternelles afin d'assurer la garde des enfants de 6 h à 22 h. Pour les personnes âgées, il faudrait mettre en place un foyer logement pour personnes âgées à Saint-Denis-sur Sarthon. Il n'est pas normal que le conseil général n'ai jamais réussi à créer de telles structures. Un hébergement pour 10 ou 15 personnes, c'est autant d'emplois créés et de familles qui s'installeront dans le canton. Il faut également mettre en place un cabinet médical pour regrouper plusieurs médecins, infirmiers, dentistes. Tout cela aurait déjà dû être réalisé depuis de nombreuses années. »
- Les ambitions du Nouveau Centre pour 2008
Le Nouveau Centre ornais s'est constitué officiellement, vendredi, à Messei. Trois questions à Patrick Lindet, délégué départemental de ce parti politique et maire-adjoint à Alençon.
Le Nouveau Centre est formé par d'anciens UDF qui n'ont pas suivi François Bayrou après le premier tour de la présidentielle. Dans l'Orne, le Nouveau Centre vient officiellement de se constituer. Qui sont ses membres ?
Le parti s'est doté d'un bureau départemental dont le président est Ludovic Assier (N.D.L.R. 31 ans, inspecteur du trésor à Alençon, n'a pas de mandat électoral). Michel Dumaine, maire de Messei, et Ken Tatham, maire de Saint-Céneri-le-Gérei ont été désignés vice-présidents. Nous avons une vingtaine d'adhérents dans l'Orne et nous comptons bien grossir nos rangs. On a d'ailleurs contacté un certain nombre d'anciens UDF.
Comment vous situez-vous par rapport à la majorité présidentielle ?
Nous appartenons à cette majorité mais nous souhaitons garder notre identité. On est là pour apporter notre point de vue qui peut être discordant et on n'hésitera pas à s'exprimer. Par exemple, nous sommes opposés aux tests ADN dans le cadre du regroupement familial. Le désendettement de la France et l'Europe sont nos priorités.
Quelle stratégie aura le Nouveau Centre ornais pour les municipales et les cantonales ?
Il y aura des candidats et des candidates. Nous avons d'ailleurs deux maires dans nos rangs. Pour ma part, si vous me demandez si je serai tête de liste à Alençon, c'est non. On soutiendra quelqu'un issu de la majorité. Je ne brigue pas non plus le poste de président du conseil général. Mais notre ambition serait de créer un groupe au sein du Département. Qui se présentera dans l'Orne ? Je ne sais pas pour le moment. Tout cela va se décider en décembre, notamment lors de la première réunion des délégués départementaux à Paris, le 16 de ce même mois.
Recueilli par Caroline BRANDT.
13 févr. 2008
12 févr. 2008
11 févr. 2008
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