14 févr. 2014



Pour ces municipales, i>TELE, en association avec 20 minutes, vous emmène faire la connaissance de plusieurs élus partout en France. Aujourd'hui, Ken Tatham, le maire d'une petite commune de l'Orne qui a décidé de passer la main après 19 ans de bons et loyaux services. Particularité de ce maire d'une commune française... il est né Anglais
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5 févr. 2014

Alain Lambert n'est pas candidat à Saint-Céneri

Alain Lambert, ancien ministre du Budget de 2002 à 2004 et président du conseil général depuis 2007, ne figure pas sur la liste engagée aux élections municipales de Saint-Céneri-le-Gérei (126 habitants). Conseiller municipal depuis 2006 dans la seule commune de l'Orne répertoriée parmi les Plus beaux villages de France, il quitte ses fonctions, à l'instar de Ken Tatham, maire depuis 1995.

4 févr. 2014

Florence Mauny-Uhl, architecte conduira la liste de St Céneri

Après la première réunion de concertation de la liste, samedi après-midi, la décision a été prise. La liste des candidats aux municipales sera conduite par Florence Mauny-Ruhl, 39 ans, architecte en équipements publics et particuliers. Native d'Argentan, elle s'est installée avec son mari et ses enfants à Saint-Céneri en 2011 et ouvert un cabinet d'architecte dans le village.
« Désireux de retrouver une vie paisible dans notre région de coeur, nous sommes tombés sous le charme du village. Nous y avons reçu un accueil particulièrement chaleureux. » Son intérêt personnel et professionnel pour l'architecture, le paysage, le patrimoine, l'histoire, la culture, trouvera « un prolongement naturel dans un engagement d'élu qui sera dans la continuité de la liste de Ken Tatham. »
Avec sa nouvelle équipe, elle travaille à l'élaboration du projet de campagne qui devrait se décliner autour de cinq axes et qui sera présentée prochainement.

3 févr. 2014

Les Européens peuvent voter aux municipales

      

C’est la mesure qui permet de donner une certaine réalité à la notion de citoyenneté européenne. Depuis 2001 pour les municipales — et 1994 pour les élections européennes —, les ressortissants de l’Union résidant en France ont le droit de voter.

Une réelle avancée avec certaines limites toutefois : les Européens n’ont en effet pas le droit de briguer un mandat de maire ou de premier adjoint. Ils peuvent en revanche rejoindre les listes des candidats et décrocher un poste de conseiller municipal… Nombreux sont ceux qui se laissent tenter.

Quant aux 140 habitants de Saint-Céneri-le-Gérei (Orne), l’un des plus beaux villages de France, ils élisent depuis 1995 un maire au patronyme très britannique, Kenneth Tatham. Né à Leeds, mais implanté dans cette petite bourgade française depuis quarante ans, celui-ci a pris la nationalité française en 1993, ce qui lui a permis de se lancer dans la politique locale. Une exception.

27 janv. 2014

Les premiers voeux de l'UDI ornaise sur fond d'élections

Sympathisants et adhérents de l'UDI se sont réunis salle René-Cassin à Argentan, vendredi soir, pour la cérémonie des voeux.
Devant une trentaine de personnes, Ludovic Assier, conseiller régional et président de la fédération UDI Orne, a fait le bilan de l'année écoulée : création de l'UDI en février, élections constitutives en juin, etc. Puis, il a listé les priorités pour l'année à venir. « Les élections municipales et européennes seront nos premières élections en tant que parti constitué », a-t-il rappelé, tout en insistant sur l'idée de rassemblement avec l'UMP : « On ne gagne jamais quand on est divisé ».
Ludovic Assier a ensuite présenté les différents candidats engagés dans la bataille des municipales dans l'Orne : Christine Roimier, tête de liste à Alençon ; Odile Lecrosnier, tête de liste à Argentan ; Chantal Leudière, tête de liste à La Ferté-Macé ; Joël Trêche, chef de file à Vimoutiers.

12 janv. 2014

VOEUX du MAIRE 2014

Je suis heureux de vous accueillir à l’occasion de la cérémonie du voeux dans cette mairie dont je connais votre attachement. J’espère que les fêtes de fin d’année se sont agréablement passées pour chacune et chacun d’entre vous.
Je souhaite vous adresser mes voeux les plus sincères afin que cette nouvelle année 2014apporte à tous joie, santé et prospérité.


Ken Tatham
Maire 1995-2014

1 oct. 2013

L'UDI Orne en marche pour les municipales




L'UDI tenait sa convention départementale vendredi 27 septembre, salle Baudelaire. À l'ordre du jour : les élections municipales. À Alençon, la tête de liste (menée avec l'UMP), Christine Roimier, est membre du parti. "L'idée est d'impulser la dynamique que nous avons ici dans les autres communes du département" explique le président de la fédération omaise, Ludovic Assier.  Comment, ?  "En désignant des chefs de fil et en élaborant des projets » La soirée a aussi été l’occasionde revenirsur l’organisation : un nombre de postes vacants au sein de la convention a été pourvu et les adhérents ont découvert le tout nouveau site internet dédié à la fédération et mis au point par Alexis Janicot (Jeunes UDI).
Enfin, l'Europe a occupé une partie des débats : "Nous commençons à préparer les: européennes. Nous mènerons une liste commune avec des centristes d'autres familles. C'est un projet fédéraliste, que nous bâtirons avec d'autres pays. Une démarche novatrice annonce Ludovic Assier.

Convention de rentrée UDI à Alençon.

Créée en février dernier, la fédération de l'Union des démocrates et indépendants UDI du département a tenu une convention de rentrée à Alençon. L'organisation se met doucement en place.


Réunion un peu en ordre dispersé vendredi dernier pour l'Union des démocrates et indépendants UDI ornais. Le rendez-vous n'a réuni qu'une vingtaine de personnes à Alençon. « J'ai reçu énormément d'excuses de sympathisants et de nos militants qui ne pouvaient être là pour raisons personnelles ou professionnelles, justifiait le président de la fédération ornaise de l'UDI Ludovic Assier. Dont celle de notre délégué départemental Eric Guillemot, en déplacement à l'étranger ».Pas de chance, Patrick Lindet et Ludovic Assier ont à leur tour disparu de la tribune en cours d'assemblée pour honorer des rendez-vous imprévus. « Depuis lundi que nous sommes entrés en campagne (à Alençon en vue des municipales), nous sommes sollicités et je crois qu'il faut savoir être sur le terrain pour se fait largement l'écho de la candidature de Christine (Roimier) », a expliqué Patrick Lindet.
De son côté, Ludovic Assier s'est éclipsé pour se rendre à Flers. Le centre et la droite se cherchent sans doute encore une tête de liste sur la 2e ville du département pour affronter le député-maire apparenté socialiste Yves Goasdoué.
Des candidats à Argentan, La Ferté-Macé et Vimoutiers
Ailleurs, le mouvement centriste compte déjà « un chef de file à La Ferté-Macé » en la personne de Thierry de Courcelles « où le partenariat avec l'UMP est en marche ». L'entente n'est en revanche pas de mise à Argentan pour Odile Lecrosnier. « Sa tâche n'est pas facile, a commenté Ludovic Assier. Elle doit faire face à des personnes qui n'ont pas le même souci de l'intérêt général et émettent des idées qui ne sont pas en accord avec les nôtres. Il y a des convictions sur lesquelles on ne peut pas s'asseoir ».
Mais Odile Lecrosnier indique qu'elle devrait réussir à présenter une liste sans difficulté. À noter qu'un groupe se constitue également à Vimoutiers sous la conduite de Joël Trèche (ancien employé dans l'industrie automobile).
L'UDI semble gagner du terrain dans le département mais cherche à se structurer davantage. Le bureau de la fédération ornaise reste d'ailleurs en quête d'un secrétaire. « Je lance un appel aux bonnes volontés, a glissé Ludovic Assier. Ce serait très précieux d'avoir quelqu'un pour renforcer l'équipe de direction afin de nous donner un coup de main sur les mails ou les courriers mais pas seulement ».
Un vrai sujet pour le président ornais. Ce dernier a d'ailleurs souligné que le mouvement centriste avait souvent été victime de son manque d'organisation lors des élections majeures. « C'est un constat qui a été rapporté lors de notre université d'été et que je trouve assez justifié ».
La fédération ornaise de l'UDI dispose désormais de son site internet : http://federation61.parti-udi.fr

1 sept. 2013

La semaine dernière, une délégation ornaise, était au Québec pour faire la promotion de la région.

« Grandiose », « sympa », « super », les qualificatifs ne manquent pas dans les bouches de la délégation normande de retour d'un voyage au  Québec. Du 21 au 25 août, dix ambassadeurs de la région, dont le Maire Adjoint de Camembert, Michel Cousin et Ken Tatham, Maire de Saint-Céneri-le-Gérei et le chef Arnaud Viel , se sont rendus à Saint-Anne-de-Beaupré, près de la ville de Québec, à l'invitation du maire de la ville. En mars dernier, une délégation canadienne était venue en Normandie. 

« On a fait la promotion de la Basse-Normandie en général et de l'Orne en particulier dans le domaine de l'enseignement, de la gastronomie, des produits locaux ou du tourisme », explique Christophe Gérard, conseiller général de l'Orne, qui a organisé le voyage.


Le chef argentanais Arnaud Viel a lui participé à l'élaboration d'un dîner dans le cadre d'une manifestation régionale avec pour convive
Pauline Marois, la Première ministre du Québec.

C'était l'occasion pour Ken Tatham de lui présenter une statuette de l'ermite fondateur de la commune sculptée par l'artiste reconnu Christian Malézieux

10 juin 2013

Ludovic Assier élu président de l'UDI

Seul candidat, le conseiller régional a été élu samedi président de l'UDI, le parti de Jean-Louis Borloo.


L'union des Démocrates et indépendants a son président : Ludovic Assier, conseiller régional de Basse-Normandie, président de la fédération Nouveau centre de l'Orne. Il a été samedi à Alençon.Dans l'Orne, l'UDI compte une centaine d'adhérents. Seuls 44 (inscrits avant le 28 février) étaient appelés aux urnes. Vingt-trois personnes sont venues voter. « C'est bien pour une première élection constitutive », souligne le nouveau président. La réunion organisée avec Hervé Morin, le président du Nouveau centre et Jean-Léonce Dupont, président du conseil général du Calvados, fin février, a entraîné une vague d'inscriptions.
« Nous sommes sur une pente ascendante. Cela prend mieux que le Nouveau centre, souligne Patrick Lindet. Jean-Louis Borloo est plus fédérateur. » Les électeurs avaient aussi à désigner leurs représentants au conseil national et à constituer leur conseil départemental. Dans le cadre de l'entente avec le Parti radical, Éric Guillemot devrait prendre la tête de la délégation départementale.
À moins d'un an des élections municipales, l'UDI, qui s'appuie sur « une équipe soudée », multiplie les contacts pour obtenir « le maillage le plus fin possible du territoire ». À Alençon, depuis l'automne, le parti travaille avec l'UMP sur le projet commun qui sera présenté aux électeurs. Des discussions sont engagées dans d'autres villes du département. C'est le cas à La Ferté-Macé et Vimoutiers.
Président : Ludovic Assier.
Élection au conseil national, liste L'Orne unie au centre : Eric Guillemot, Ken  Tatham, Patrick Croissant et Ghislaine Marse-Guerra.
Élection au conseil départemental, liste Ambition centriste pour l'Orne : Patrick Lindet, Éric Guillemot, Philippe Sarthout, Thierry Decourcelle, Ghislaine Marse-Guerra, Joël Treche, Christophe Paumier-Gasse, Alexis Janicot.

4 juin 2013

Le Lions club Alençon Cité a reçu des Britanniques

Réception officielle des Anglais du  Lions club de Basingstoke, vendredi dernier, par leurs homologues du Lions club Alençon Cité, dans le salon d'honneur du Conseil général.



Le président Jacques Lézenven a salué son ami britannique Rex Sinden, avant de lui remettre une statuette de Christian Malézieux « les deux mains de l'amitié », « un cadeau qui scelle nos relations exemplaires » devait-il déclarer.
Les invités anglais étaient présents dans le cadre du jumelage entre les deux villes. Leurs hôtes ornais leur avaient concocté un programme riche et divers : château et jardins de Vandeuvre (Calvados), musée des miniatures, char tigre de Vimoutiers, fromagerie Graindorge, dîner officiel et trophée Jean Le Noach en pétanque. « Avec l'espoir pour nous de prendre notre revanche », devait souligner avec le sourire le président Lézenven.

29 mai 2013

CONVENTION DÉPARTEMENTALE CONSTITUTIVE UDI DE l'ORNE

CONVENTION DÉPARTEMENTALE CONSTITUTIVE UDI de l'ORNE
 
 Samedi 8 juin 2013 à partir de 10 heures
 salle de réunion Baudelaire
 rue Porchaine,  61000 Alençon

24 mai 2013

Jean-Léonce Dupont élu président de l'UDI Calvados

La première convention départementale de l'Union des démocrates indépendants (UDI) du Calvados s'est tenue le 17 mai au Centre des congrès de Caen, pour organiser la fédération autour des partis la composant : le Nouveau centre, le Parti radical, le Parti libéral démocrate, la Gauche moderne et le Centre national des indépendants et paysans. Jean Léonce Dupont, vice-président du Sénat et président du conseil général, a été élu à l'unanimité président de la fédération. 48 conseillers départementaux et 27 conseillers nationaux ont été également élus. Le bureau, qui comptera 38 membres dont 19 membres de droit (un sénateur, un conseiller régional, 7 conseillers généraux, 5 maires et un responsable par parti), sera constitué avant fin juin.

10 mars 2013

France's Brits ponder French Nationality


























For the first time since she moved from Britain to France 18 years ago, Frances Bucquet is seriously considering taking French citizenship -- and she blames British Prime Minister David Cameron.
English teacher Bucquet is angry at the premier's announcement his government would hold a referendum on Britain's membership of the European Union if it wins the next elections.
"I feel a bit embarrassed that my original country could be so uninterested in everybody else. I'm pretty annoyed about it actually," she told AFP.
She said she would be happy to take on French nationality, partly because she could retain her British passport.
"I wouldn't mind taking French nationality too because I want to be part of things over here," she added.
The French statistics office INSEE says there are almost 154,000 British citizens living in France.
If Britain were to quit the EU, the status of British nationals in their adopted home country could change, raising practical questions about issues like French voting, residency and work rights.
But the rising tide of euroscepticism in the UK is also affecting British people in France on a more personal level. Bucquet and her French husband Jacques are concerned that one day their two children, who were born in France, will feel forced to choose between the two sides of their identities.
"If you're brought up with two cultures, two languages, they're part of you. You can't choose between them. You need both," she said.
The general mood in France seems somewhat ambivalent about the possibility of Britain leaving the European Union if the results of two surveys, both published at the end of January, are to be believed. One study, by pollsters BVA, found that 52 percent of French people want the UK to go. But the other, conducted by IFOP, found 58 percent were in favour of the British staying in the club.
Ken Tatham, originally from the northern English city of Leeds, is France's first ever English mayor. In 1993 he acquired French citizenship and for the past 18 years he has been at the heart of political life in the tiny Normandy village of Saint Ceneri le Gerei.
Throughout that time, he has tried to foster friendship and understanding between France and Britain and he feels the recent rise of anti-European feeling in his former home country is not making his job easy.
"I have discussions with French friends and they say, 'There you go. Britain's at it again'. And then I become a Brit again. They don't see me as a Frenchman," he told AFP.
Tatham added that he was, "upset and shocked," by Cameron's referendum announcement.
"I certainly wasn't expecting it and I don't think the UK has played the role I'd have liked it to have played. I think that Britain would suffer from leaving the European Union," he said.
"I feel that Britain is blackmailing the rest of the European Union. I wonder if they really want to leave. It's not in the greatest of shapes but if we're going to forge a European Union we've got to take the good with the bad."
The French mayor also sought to reassure any compatriots thinking of taking the plunge and opting for French nationality.
"When you take out French nationality, you don't lose your British nationality. You can't lose your British nationality unless you do something like commit high treason. So there's nothing to lose," he explained.
British national Michael Dodds is the director of Tourisme Bretagne. It's his job to try to encourage people to visit the western French region of Brittany, famed for its rugged coastlines, mysterious standing stones and proud Celtic culture. He feels Cameron's statement was a disaster.
"You can imagine that for someone trying to promote Anglo-French relations through tourism, this kind of announcement doesn't help at all," he said.
"Up until now I've never felt the desire or the need to adopt French nationality but perhaps now is the time to think about it," he added.
Dodds has a French wife and young children so, like Tatham and Bucquet, feels personally affected by the UK government's eurosceptic attitude. But he also argues that Britain pulling out of the EU would have a very concrete effect on Franco-British projects he is trying to promote.
"We're working on a scheme with partners in Dorset, Devon and Cornwall to create a network of cycle trails that would link up the southwest of England with Normandy and Brittany. It's a nine-million-euro project funded by the EU that simply wouldn't exist if the UK wasn't a member," he said.



6 mars 2013

L'UDI de l'Orne est créée

« La réunion de la grande famille centriste ornaise. » Ainsi Ludovic Assier, conseiller régional et président du Nouveau centre de l'Orne, voit-il la création d'une antenne départementale de l'UDI. Elle est officielle depuis jeudi soir. Fondé par Jean-Louis Borloo en 2012, l'Union des démocrates et indépendants se compose de huit partis, dont les principaux sont le Nouveau centre et l'Alliance centriste.L'UDI a organisé une réunion publique, jeudi soir à Alençon, en présence d'Hervé Morin, président du Nouveau centre, Alain Lambert et Jean-Léonce Dupont, présidents des conseils généraux de l'Orne et du Calvados, ainsi que le député d'Eure-et-Loir, Philippe Vigier, porte-parole du mouvement.
Le parti du centre-droit se focalise sur les prochaines échéances électorales. Notamment les municipales, en 2014. « Alençon est une terre de centristes, estime Patrick Lindet, conseiller municipal et délégué départemental du Nouveau centre. Il n'y a pas de raison que la mairie ne rebascule pas en notre faveur. » Ludovic Assier est présenté comme le candidat qui portera les couleurs du parti.
Pour Hervé Morin, c'est simple : « nous avons presque toujours raison avant tout le monde. Ça n'est peut-être pas très modeste, mais c'est la vérité. » Il fustige le gouvernement Hollande, évoque une « trahison » des électeurs, un pays devenu « totalement dépressif. » L'ancien ministre promet une politique courageuse et lucide. « Cette crise, c'est l'entrée dans un nouveau monde. Ce monde-là, pourtant, est fait pour nous. La France y a sa place. »
. Elle est officielle depuis jeudi soir. Fondé par Jean-Louis Borloo en 2012, l'Union des démocrates et indépendants se compose de huit partis, dont les principaux sont le Nouveau centre et l'Alliance centriste.L'UDI
Pour l'occasion, Hervé Morin, président du conseil national du Nouveau centre, a fait le déplacement, hier à Alençon.


2 janv. 2013

Le président (divers droite) du conseil général de l'Orne, Alain Lambert, vient d'être promu au grade d'officier dans l'ordre de la Légion d'honneur, le 1er janvier, au titre du ministère du budget. Alain Lambert était chevalier de la Légion d'honneur depuis 2004. Ce chrétien-démocrate centriste de coeur se voit ainsi récompensé pour son action au service de l'État. Ancien ministre délégué au Budget, conseiller à la Cour des comptes auprès du socialiste Didier Migaud, il est un des pères de la « Lolf » (loi organique relative aux lois de finances). Cette haute distinction souligne son parcours de grand serviteur de l'État : rapporteur du budget de la justice, puis rapporteur général du budget en 1995, et enfin président de la commission des finances en octobre 1998. Alain Lambert siège également depuis 2008 à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations. Dans l'Orne, il est également conseiller municipal de Saint-Céneri-le-Gérei et conseiller général du canton de Putanges-Pont-Écrepin (depuis le 15 février 2009).

13 sept. 2012

GDE : opposition des UMP-centristes de la Région

Philippe Augier, président du groupe centriste, Joël Bruneau, président du groupe UMP, et les conseillers régionaux de l'Orne Bertrand Deniaud, Ludovic Assier et Brigitte Luypaert soutiennent, dans un communiqué « les démarches entreprises [par les anti-GDE] pour éviter que cette entreprise puisse s'implanter au coeur d'un site tel celui de Nonant ». « Nous tenons à affirmer notre opposition à ce projet qui n'a visiblement pas été assez réfléchi dans sa construction », indiquent les groupes UMP-centristes de la région Basse-Normandie. Ils regrettent de ne pas avoir eu à se prononcer sur le sujet, en tant que conseillers régionaux.

11 sept. 2012

Alain Lambert à St-Ceneri : « De mesquines critiques »

Le président du conseil général, Alain Lambert, vient de s'adresser aux habitants de  Saint-Céneri-le-Gerei, à l'occasion des 30 ans des plus beaux villages de France.
Sur son blog, il reprend les propos qu'il a adressés aux Girois : « J'ai dit combien cette union sacrée pour le village était indestructible, et que les mesquines critiques qui nous jalousent n'auraient jamais raison ni de notre volonté de continuer ensemble, ni raison de notre amitié. J'ai assuré les Girois que les critiques qu'on lisait parfois dans la presse sur ma présence à Le président du conseil général, Alain Lambert, vient de s'adresser aux habitants de Saint-le-Gerei, à l'occasion des 30 ans des plus beaux villages de France.
Sur son blog, il reprend les propos qu'il a adressés aux Girois : « J'ai dit combien cette union sacrée pour le village était indestructible, et que les mesquines critiques qui nous jalousent n'auraient jamais raison ni de notre volonté de continuer ensemble, ni raison de notre amitié. J'ai assuré les Girois que les critiques qu'on lisait parfois dans la presse sur ma présence à Saint-Céneri, ne devaient pas les atteindre car leurs auteurs faisaient bien peu de cas de leur pouvoir souverain de choisir librement leurs élus. » Alain Lambert en a profité pour rappeler que « plus d'un million d'euros ont été consacrés à l'assainissement, l'aménagement du bourg, les équipements municipaux, l'église, l'auberge des Soeurs Moisy, pour la mise en beauté de ce site merveilleux ».
Saint-Céneri ne devaient pas les atteindre car leurs auteurs faisaient bien peu de cas de leur pouvoir souverain de choisir librement leurs élus. » Alain Lambert en a profité pour rappeler que « plus d'un million d'euros ont été consacrés à l'assainissement, l'aménagement du bourg, les équipements municipaux, l'église, l'auberge des Soeurs Moisy, pour la mise en beauté de ce site merveilleux ».

7 sept. 2012

Région : Ludovic Assier succède à V. Louwagie

 
Ludovic Assier, président du Nouveau Centre dans l'Orne, succède à la députée UMP Véronique Louwagie au conseil régional de Basse-Normandie, depuis la rentrée de septembre.


« Soucieux de la bonne utilisation des fonds publics, considérant que l'attractivité de notre région est une priorité absolue, j'entends exercer le mandat qui m'est confié dans un état d'esprit constructif, affirme-t-il. Mais vigilant et exigeant quant aux orientations cruciales que doit prendre la Basse-Normandie si elle ne veut pas s'inscrire durablement dans la surenchère fiscale, l'exode de nos forces vives. »

11 juil. 2012

Julien Tatham, lance un projet artistique de « crowdfunding »

Julien Tatham, un nom bien connu des Girois et Mathieu Mirol, deux Normands installés à Bruxelles, lancent un projet artistique « because we don't know this place », un spectacle où Julien est metteur en scène et vidéaste, Mathieu compositeur et musicien, en s'appuyant sur le crowdfunding, un financement participatif très utilisé dans les pays anglophones mais rare en France.Qu'est-ce que le crowdfunding ?
Vous avez un projet, les banquiers sont frileux, utilisez le « financement participatif ». En clair, vous présentez votre projet sur un site, l'internaute qui trouve l'idée intéressante peut investir sur votre idée. Vous levez des fonds pour démarrer le projet, les investisseurs, particuliers, sociétés, entreprises... reçoivent des contreparties de toute nature en échange. Le système très utilisé aux USA, réglementé par une loi JOBS, démarre doucement en France mais il a permis de créer une brasserie à la Goutte d'Or à Paris, le lancement d'une montre à encre électronique Pebble... KissKissBank, Ulule, Friendsclear, Wiseed en France servent d'intermédiaires pour lancer les projets.
Le projet des deux Normands
Julien précise, « nous avons un court délai pour récolter les fonds d'investisseurs pour produire notre spectacle. Si nous atteignons le niveau souhaité, un coproducteur investira la même somme. Plusieurs sociétés de production sont intéressées, nous avons des contacts avec deux centres culturels pour une programmation de notre spectacle à Bruxelles. Chaque contribution individuelle, même modeste, est importante et sera rétribuée sur les revenus des spectacles. Nous avons besoin d'entreprises et de sociétés pour établir un partenariat durable. Nous avons des contacts dans plusieurs pays d'Europe pour diffuser le spectacle. Notre partenaire est Ulule. » Une démarche innovante de deux jeunes qui croient en leur projet et méritent d'être aidés.
Informations et contacts
Site www.ulule.com/because/. Page officielle : reflecting story.com/because/. Facebook : facebook.com/because.performance. Films-rencontres sur le projet artistique : http://bit.ly/Ol55dr ou http://bit.ly/LhjQyC.. Contact Julien Tatham, tél. +32 47 42 67 264 . Chaussée de Boondael 40. 1050. Bruxelles.

3 juil. 2012

Alain Lambert rencontre les frondeurs à huis clos

Le président du conseil général de l'Orne a rencontré dimanche Jérôme Nury et Patrick Mussat. Une guerre d'usure est lancée entre Orne Avenir et Alain Lambert.


C'est un peu la « drôle de guerre » où chacun compte ses troupes en se regardant de part et d'autre de la ligne de front. Le torchon brûle entre le groupe Orne Avenir et le président du conseil général, Alain Lambert, depuis déjà une semaine. Certains parlementaires prédisent un départ d'Alain Lambert « avant le 14 juillet ». Mais d'autres conseillers généraux parient sur la ténacité du patron du département, et l'effritement du « groupe des 20 » qui réclame la démission du président. Sans qu'aucun n'ait confirmé l'information, trois ou quatre « frondeurs » regretteraient de s'être engagés dans ce mouvement d'opposants à Alain Lambert « C'est à n'y rien comprendre : Alain Lambert a annoncé qu'il quitterait la présidence dans 22 mois en 2014. Le faire partir maintenant de l'Orne, c'est se tirer une balle dans le pied. Alain Lambert est le seul capable de boucler le montage du budget 2013 de l'Orne. Il a fait beaucoup pour l'Orne », martèle le maire (UMP dissident) de Vimoutiers, Guy Romain.« Des questions de politique nationale »
En coulisses, les tractations vont bon train : le président du conseil général de l'Orne a confirmé hier « avoir rencontré Patrick Mussat et Jérôme Nury, alors que j'étais moi-même accompagné du conseiller général André Dubuisson ». Rencontre qui s'est déroulée à l'hôtel du département. Curieusement, Jérôme Nury n'a voulu « ni infirmer, ni confirmer cette rencontre », alors qu'Alain Lambert n'a fait aucune difficulté pour en parler. Et l'a qualifiée de « dialogue courtois. J'ai compris que la nature de notre différend portait sur des questions de politique nationale et ne visent en aucun cas des questions de gestion du département ». Selon Alain Lambert, les deux parties sont convenues de se revoir.
Côté « Orne Avenir », le groupe qui réclame le départ d'Alain Lambert a confirmé hier « maintenir sa menace de refus de siéger à la commission permanente » qui doit se tenir vendredi 6 juillet. Une menace que relativise Alain Lambert, qui n'a rien perdu de sa détermination et parie sur une guerre des nerfs et d'usure : « l'obligation du quorum, lors de la commission permanente, tombe lors de la seconde convocation », précise le président du conseil général. Autrement dit : plus de quorum obligatoire si une seconde convocation est nécessaire en commission permanente. « Mais il faudra faire payer aux contribuables Ornais ces frais de déplacement inutiles des conseillers généraux venus lors de la première commission permanente ».
« Bouc émissaire »
Hier après-midi, des adhérents du Nouveau-centre Ornais ont pris fait et cause pour Alain Lambert : Bruno Charuel, Marie-Noëlle Hoffmann, Marc Lepicard, Patrick Lindet, Ken Tatham ont signé un communiqué dans lequel ils posent une question : « vingt conseillers généraux autoproclamés Avenir de l'Orne pensent-ils sincèrement servir notre département par leur excès de langage et voie de presse interposée ? [...] Alain Lambert mérite-t-il un tel assaut de haine, d'ingratitude et d'indignité ? Doit-on rappeler ce que l'Orne et nombre de ces conseillers généraux lui doivent ? [...] Les candidats déçus ne doivent pas faire du président du conseil général le bouc émissaire de leurs échecs ».
Resté silencieux depuis le début de la crise, le sénateur-maire de Mortagne-au-Perche, Jean-Claude Lenoir, a « nié formellement » apporter son appui au groupe des frondeurs. Quand bien même Guy Romain, à Vimoutiers, n'en démord pas : « tout ça a démarré avec les sénatoriales : Jean-Claude Lenoir et Alain Lambert se détestent ! ». Alain Lambert mène une guerre d'usure et rappelle que « si Jérôme Nury veut être le prochain président du conseil général, il devra donc abandonner son mandat de maire de Tinchebray, puisqu'il n'a pas de mandat de parlementaire. Quant à Patrick Mussat, il est encore plus occupé que moi à Paris ». Entre Alain Lambert et Orne Avenir, c'est coup pour coup.

2 juil. 2012

Le nouveau centre soutient Alain Lambert


Le nouveau centre soutient Alain Lambert

Politique lundi 02 juillet 2012

Patrick Lindet, délégué départemental du Centre Orne, et quatre autres centristes (Bruno Charuel, Marie-Noëlle Hoffmann, Marc Lepicard, Ken Tatham), viennent de signer un communiqué intitulé «et si on pensait à l'Orne et aux Ornais». Ils se demandent si «Alain Lambert mérite un tel assaut de haine, d'ingratitude et d'indignité? Doit-on rappeler ce que l'Orne et nombre de ces conseillers généraux lui doivent? Les candidats déçus ne doivent donc pas faire du président du conseil général le bouc émissaire de leurs échecs». Et ils en appellent à un «dialogue franc, serein et respectueux des personnes, autour d'une table et non sur la place publique, afin que les uns et les autres puissent sortir de cette crise dans la dignité, pour le seul intérêt de l'Orne et des Ornais».

29 juin 2012

Saint-Cénéri ne veut pas de la polémique Lambert

La commune de Saint-Céneri-le-Gerei ne veut pas que la fronde des vingt conseillers généraux contre le président du département Alain Lambert s'invite chez elle. Le conseil municipal a exprimé ce souhait jeudi dans un communiqué. « Dans les débats politiques concernant Alain Lambert et auxquels nous nous refusons de prendre part, notre joli village est souvent cité. Comme nous souhaitons lever toute ambiguïté, nous voulons qu'il soit clair qu'Alain Lambert a été élu et réélu à  Saint-Céneri, comme conseiller municipal, qu'il y a apporté exactement ce que nous attendions de lui et nous n'avons, pour notre part, qu'à nous louer de l'avoir comme collègue. Nous ne souhaitons donc pas être considérés comme partie prenante de ce débat politique qui ne nous concerne pas. »