27 janv. 2014

Les premiers voeux de l'UDI ornaise sur fond d'élections

Sympathisants et adhérents de l'UDI se sont réunis salle René-Cassin à Argentan, vendredi soir, pour la cérémonie des voeux.
Devant une trentaine de personnes, Ludovic Assier, conseiller régional et président de la fédération UDI Orne, a fait le bilan de l'année écoulée : création de l'UDI en février, élections constitutives en juin, etc. Puis, il a listé les priorités pour l'année à venir. « Les élections municipales et européennes seront nos premières élections en tant que parti constitué », a-t-il rappelé, tout en insistant sur l'idée de rassemblement avec l'UMP : « On ne gagne jamais quand on est divisé ».
Ludovic Assier a ensuite présenté les différents candidats engagés dans la bataille des municipales dans l'Orne : Christine Roimier, tête de liste à Alençon ; Odile Lecrosnier, tête de liste à Argentan ; Chantal Leudière, tête de liste à La Ferté-Macé ; Joël Trêche, chef de file à Vimoutiers.

12 janv. 2014

VOEUX du MAIRE 2014

Je suis heureux de vous accueillir à l’occasion de la cérémonie du voeux dans cette mairie dont je connais votre attachement. J’espère que les fêtes de fin d’année se sont agréablement passées pour chacune et chacun d’entre vous.
Je souhaite vous adresser mes voeux les plus sincères afin que cette nouvelle année 2014apporte à tous joie, santé et prospérité.


Ken Tatham
Maire 1995-2014

1 oct. 2013

L'UDI Orne en marche pour les municipales




L'UDI tenait sa convention départementale vendredi 27 septembre, salle Baudelaire. À l'ordre du jour : les élections municipales. À Alençon, la tête de liste (menée avec l'UMP), Christine Roimier, est membre du parti. "L'idée est d'impulser la dynamique que nous avons ici dans les autres communes du département" explique le président de la fédération omaise, Ludovic Assier.  Comment, ?  "En désignant des chefs de fil et en élaborant des projets » La soirée a aussi été l’occasionde revenirsur l’organisation : un nombre de postes vacants au sein de la convention a été pourvu et les adhérents ont découvert le tout nouveau site internet dédié à la fédération et mis au point par Alexis Janicot (Jeunes UDI).
Enfin, l'Europe a occupé une partie des débats : "Nous commençons à préparer les: européennes. Nous mènerons une liste commune avec des centristes d'autres familles. C'est un projet fédéraliste, que nous bâtirons avec d'autres pays. Une démarche novatrice annonce Ludovic Assier.

Convention de rentrée UDI à Alençon.

Créée en février dernier, la fédération de l'Union des démocrates et indépendants UDI du département a tenu une convention de rentrée à Alençon. L'organisation se met doucement en place.


Réunion un peu en ordre dispersé vendredi dernier pour l'Union des démocrates et indépendants UDI ornais. Le rendez-vous n'a réuni qu'une vingtaine de personnes à Alençon. « J'ai reçu énormément d'excuses de sympathisants et de nos militants qui ne pouvaient être là pour raisons personnelles ou professionnelles, justifiait le président de la fédération ornaise de l'UDI Ludovic Assier. Dont celle de notre délégué départemental Eric Guillemot, en déplacement à l'étranger ».Pas de chance, Patrick Lindet et Ludovic Assier ont à leur tour disparu de la tribune en cours d'assemblée pour honorer des rendez-vous imprévus. « Depuis lundi que nous sommes entrés en campagne (à Alençon en vue des municipales), nous sommes sollicités et je crois qu'il faut savoir être sur le terrain pour se fait largement l'écho de la candidature de Christine (Roimier) », a expliqué Patrick Lindet.
De son côté, Ludovic Assier s'est éclipsé pour se rendre à Flers. Le centre et la droite se cherchent sans doute encore une tête de liste sur la 2e ville du département pour affronter le député-maire apparenté socialiste Yves Goasdoué.
Des candidats à Argentan, La Ferté-Macé et Vimoutiers
Ailleurs, le mouvement centriste compte déjà « un chef de file à La Ferté-Macé » en la personne de Thierry de Courcelles « où le partenariat avec l'UMP est en marche ». L'entente n'est en revanche pas de mise à Argentan pour Odile Lecrosnier. « Sa tâche n'est pas facile, a commenté Ludovic Assier. Elle doit faire face à des personnes qui n'ont pas le même souci de l'intérêt général et émettent des idées qui ne sont pas en accord avec les nôtres. Il y a des convictions sur lesquelles on ne peut pas s'asseoir ».
Mais Odile Lecrosnier indique qu'elle devrait réussir à présenter une liste sans difficulté. À noter qu'un groupe se constitue également à Vimoutiers sous la conduite de Joël Trèche (ancien employé dans l'industrie automobile).
L'UDI semble gagner du terrain dans le département mais cherche à se structurer davantage. Le bureau de la fédération ornaise reste d'ailleurs en quête d'un secrétaire. « Je lance un appel aux bonnes volontés, a glissé Ludovic Assier. Ce serait très précieux d'avoir quelqu'un pour renforcer l'équipe de direction afin de nous donner un coup de main sur les mails ou les courriers mais pas seulement ».
Un vrai sujet pour le président ornais. Ce dernier a d'ailleurs souligné que le mouvement centriste avait souvent été victime de son manque d'organisation lors des élections majeures. « C'est un constat qui a été rapporté lors de notre université d'été et que je trouve assez justifié ».
La fédération ornaise de l'UDI dispose désormais de son site internet : http://federation61.parti-udi.fr

1 sept. 2013

La semaine dernière, une délégation ornaise, était au Québec pour faire la promotion de la région.

« Grandiose », « sympa », « super », les qualificatifs ne manquent pas dans les bouches de la délégation normande de retour d'un voyage au  Québec. Du 21 au 25 août, dix ambassadeurs de la région, dont le Maire Adjoint de Camembert, Michel Cousin et Ken Tatham, Maire de Saint-Céneri-le-Gérei et le chef Arnaud Viel , se sont rendus à Saint-Anne-de-Beaupré, près de la ville de Québec, à l'invitation du maire de la ville. En mars dernier, une délégation canadienne était venue en Normandie. 

« On a fait la promotion de la Basse-Normandie en général et de l'Orne en particulier dans le domaine de l'enseignement, de la gastronomie, des produits locaux ou du tourisme », explique Christophe Gérard, conseiller général de l'Orne, qui a organisé le voyage.


Le chef argentanais Arnaud Viel a lui participé à l'élaboration d'un dîner dans le cadre d'une manifestation régionale avec pour convive
Pauline Marois, la Première ministre du Québec.

C'était l'occasion pour Ken Tatham de lui présenter une statuette de l'ermite fondateur de la commune sculptée par l'artiste reconnu Christian Malézieux

10 juin 2013

Ludovic Assier élu président de l'UDI

Seul candidat, le conseiller régional a été élu samedi président de l'UDI, le parti de Jean-Louis Borloo.


L'union des Démocrates et indépendants a son président : Ludovic Assier, conseiller régional de Basse-Normandie, président de la fédération Nouveau centre de l'Orne. Il a été samedi à Alençon.Dans l'Orne, l'UDI compte une centaine d'adhérents. Seuls 44 (inscrits avant le 28 février) étaient appelés aux urnes. Vingt-trois personnes sont venues voter. « C'est bien pour une première élection constitutive », souligne le nouveau président. La réunion organisée avec Hervé Morin, le président du Nouveau centre et Jean-Léonce Dupont, président du conseil général du Calvados, fin février, a entraîné une vague d'inscriptions.
« Nous sommes sur une pente ascendante. Cela prend mieux que le Nouveau centre, souligne Patrick Lindet. Jean-Louis Borloo est plus fédérateur. » Les électeurs avaient aussi à désigner leurs représentants au conseil national et à constituer leur conseil départemental. Dans le cadre de l'entente avec le Parti radical, Éric Guillemot devrait prendre la tête de la délégation départementale.
À moins d'un an des élections municipales, l'UDI, qui s'appuie sur « une équipe soudée », multiplie les contacts pour obtenir « le maillage le plus fin possible du territoire ». À Alençon, depuis l'automne, le parti travaille avec l'UMP sur le projet commun qui sera présenté aux électeurs. Des discussions sont engagées dans d'autres villes du département. C'est le cas à La Ferté-Macé et Vimoutiers.
Président : Ludovic Assier.
Élection au conseil national, liste L'Orne unie au centre : Eric Guillemot, Ken  Tatham, Patrick Croissant et Ghislaine Marse-Guerra.
Élection au conseil départemental, liste Ambition centriste pour l'Orne : Patrick Lindet, Éric Guillemot, Philippe Sarthout, Thierry Decourcelle, Ghislaine Marse-Guerra, Joël Treche, Christophe Paumier-Gasse, Alexis Janicot.

4 juin 2013

Le Lions club Alençon Cité a reçu des Britanniques

Réception officielle des Anglais du  Lions club de Basingstoke, vendredi dernier, par leurs homologues du Lions club Alençon Cité, dans le salon d'honneur du Conseil général.



Le président Jacques Lézenven a salué son ami britannique Rex Sinden, avant de lui remettre une statuette de Christian Malézieux « les deux mains de l'amitié », « un cadeau qui scelle nos relations exemplaires » devait-il déclarer.
Les invités anglais étaient présents dans le cadre du jumelage entre les deux villes. Leurs hôtes ornais leur avaient concocté un programme riche et divers : château et jardins de Vandeuvre (Calvados), musée des miniatures, char tigre de Vimoutiers, fromagerie Graindorge, dîner officiel et trophée Jean Le Noach en pétanque. « Avec l'espoir pour nous de prendre notre revanche », devait souligner avec le sourire le président Lézenven.

29 mai 2013

CONVENTION DÉPARTEMENTALE CONSTITUTIVE UDI DE l'ORNE

CONVENTION DÉPARTEMENTALE CONSTITUTIVE UDI de l'ORNE
 
 Samedi 8 juin 2013 à partir de 10 heures
 salle de réunion Baudelaire
 rue Porchaine,  61000 Alençon

24 mai 2013

Jean-Léonce Dupont élu président de l'UDI Calvados

La première convention départementale de l'Union des démocrates indépendants (UDI) du Calvados s'est tenue le 17 mai au Centre des congrès de Caen, pour organiser la fédération autour des partis la composant : le Nouveau centre, le Parti radical, le Parti libéral démocrate, la Gauche moderne et le Centre national des indépendants et paysans. Jean Léonce Dupont, vice-président du Sénat et président du conseil général, a été élu à l'unanimité président de la fédération. 48 conseillers départementaux et 27 conseillers nationaux ont été également élus. Le bureau, qui comptera 38 membres dont 19 membres de droit (un sénateur, un conseiller régional, 7 conseillers généraux, 5 maires et un responsable par parti), sera constitué avant fin juin.

10 mars 2013

France's Brits ponder French Nationality


























For the first time since she moved from Britain to France 18 years ago, Frances Bucquet is seriously considering taking French citizenship -- and she blames British Prime Minister David Cameron.
English teacher Bucquet is angry at the premier's announcement his government would hold a referendum on Britain's membership of the European Union if it wins the next elections.
"I feel a bit embarrassed that my original country could be so uninterested in everybody else. I'm pretty annoyed about it actually," she told AFP.
She said she would be happy to take on French nationality, partly because she could retain her British passport.
"I wouldn't mind taking French nationality too because I want to be part of things over here," she added.
The French statistics office INSEE says there are almost 154,000 British citizens living in France.
If Britain were to quit the EU, the status of British nationals in their adopted home country could change, raising practical questions about issues like French voting, residency and work rights.
But the rising tide of euroscepticism in the UK is also affecting British people in France on a more personal level. Bucquet and her French husband Jacques are concerned that one day their two children, who were born in France, will feel forced to choose between the two sides of their identities.
"If you're brought up with two cultures, two languages, they're part of you. You can't choose between them. You need both," she said.
The general mood in France seems somewhat ambivalent about the possibility of Britain leaving the European Union if the results of two surveys, both published at the end of January, are to be believed. One study, by pollsters BVA, found that 52 percent of French people want the UK to go. But the other, conducted by IFOP, found 58 percent were in favour of the British staying in the club.
Ken Tatham, originally from the northern English city of Leeds, is France's first ever English mayor. In 1993 he acquired French citizenship and for the past 18 years he has been at the heart of political life in the tiny Normandy village of Saint Ceneri le Gerei.
Throughout that time, he has tried to foster friendship and understanding between France and Britain and he feels the recent rise of anti-European feeling in his former home country is not making his job easy.
"I have discussions with French friends and they say, 'There you go. Britain's at it again'. And then I become a Brit again. They don't see me as a Frenchman," he told AFP.
Tatham added that he was, "upset and shocked," by Cameron's referendum announcement.
"I certainly wasn't expecting it and I don't think the UK has played the role I'd have liked it to have played. I think that Britain would suffer from leaving the European Union," he said.
"I feel that Britain is blackmailing the rest of the European Union. I wonder if they really want to leave. It's not in the greatest of shapes but if we're going to forge a European Union we've got to take the good with the bad."
The French mayor also sought to reassure any compatriots thinking of taking the plunge and opting for French nationality.
"When you take out French nationality, you don't lose your British nationality. You can't lose your British nationality unless you do something like commit high treason. So there's nothing to lose," he explained.
British national Michael Dodds is the director of Tourisme Bretagne. It's his job to try to encourage people to visit the western French region of Brittany, famed for its rugged coastlines, mysterious standing stones and proud Celtic culture. He feels Cameron's statement was a disaster.
"You can imagine that for someone trying to promote Anglo-French relations through tourism, this kind of announcement doesn't help at all," he said.
"Up until now I've never felt the desire or the need to adopt French nationality but perhaps now is the time to think about it," he added.
Dodds has a French wife and young children so, like Tatham and Bucquet, feels personally affected by the UK government's eurosceptic attitude. But he also argues that Britain pulling out of the EU would have a very concrete effect on Franco-British projects he is trying to promote.
"We're working on a scheme with partners in Dorset, Devon and Cornwall to create a network of cycle trails that would link up the southwest of England with Normandy and Brittany. It's a nine-million-euro project funded by the EU that simply wouldn't exist if the UK wasn't a member," he said.



6 mars 2013

L'UDI de l'Orne est créée

« La réunion de la grande famille centriste ornaise. » Ainsi Ludovic Assier, conseiller régional et président du Nouveau centre de l'Orne, voit-il la création d'une antenne départementale de l'UDI. Elle est officielle depuis jeudi soir. Fondé par Jean-Louis Borloo en 2012, l'Union des démocrates et indépendants se compose de huit partis, dont les principaux sont le Nouveau centre et l'Alliance centriste.L'UDI a organisé une réunion publique, jeudi soir à Alençon, en présence d'Hervé Morin, président du Nouveau centre, Alain Lambert et Jean-Léonce Dupont, présidents des conseils généraux de l'Orne et du Calvados, ainsi que le député d'Eure-et-Loir, Philippe Vigier, porte-parole du mouvement.
Le parti du centre-droit se focalise sur les prochaines échéances électorales. Notamment les municipales, en 2014. « Alençon est une terre de centristes, estime Patrick Lindet, conseiller municipal et délégué départemental du Nouveau centre. Il n'y a pas de raison que la mairie ne rebascule pas en notre faveur. » Ludovic Assier est présenté comme le candidat qui portera les couleurs du parti.
Pour Hervé Morin, c'est simple : « nous avons presque toujours raison avant tout le monde. Ça n'est peut-être pas très modeste, mais c'est la vérité. » Il fustige le gouvernement Hollande, évoque une « trahison » des électeurs, un pays devenu « totalement dépressif. » L'ancien ministre promet une politique courageuse et lucide. « Cette crise, c'est l'entrée dans un nouveau monde. Ce monde-là, pourtant, est fait pour nous. La France y a sa place. »
. Elle est officielle depuis jeudi soir. Fondé par Jean-Louis Borloo en 2012, l'Union des démocrates et indépendants se compose de huit partis, dont les principaux sont le Nouveau centre et l'Alliance centriste.L'UDI
Pour l'occasion, Hervé Morin, président du conseil national du Nouveau centre, a fait le déplacement, hier à Alençon.


2 janv. 2013

Le président (divers droite) du conseil général de l'Orne, Alain Lambert, vient d'être promu au grade d'officier dans l'ordre de la Légion d'honneur, le 1er janvier, au titre du ministère du budget. Alain Lambert était chevalier de la Légion d'honneur depuis 2004. Ce chrétien-démocrate centriste de coeur se voit ainsi récompensé pour son action au service de l'État. Ancien ministre délégué au Budget, conseiller à la Cour des comptes auprès du socialiste Didier Migaud, il est un des pères de la « Lolf » (loi organique relative aux lois de finances). Cette haute distinction souligne son parcours de grand serviteur de l'État : rapporteur du budget de la justice, puis rapporteur général du budget en 1995, et enfin président de la commission des finances en octobre 1998. Alain Lambert siège également depuis 2008 à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations. Dans l'Orne, il est également conseiller municipal de Saint-Céneri-le-Gérei et conseiller général du canton de Putanges-Pont-Écrepin (depuis le 15 février 2009).

13 sept. 2012

GDE : opposition des UMP-centristes de la Région

Philippe Augier, président du groupe centriste, Joël Bruneau, président du groupe UMP, et les conseillers régionaux de l'Orne Bertrand Deniaud, Ludovic Assier et Brigitte Luypaert soutiennent, dans un communiqué « les démarches entreprises [par les anti-GDE] pour éviter que cette entreprise puisse s'implanter au coeur d'un site tel celui de Nonant ». « Nous tenons à affirmer notre opposition à ce projet qui n'a visiblement pas été assez réfléchi dans sa construction », indiquent les groupes UMP-centristes de la région Basse-Normandie. Ils regrettent de ne pas avoir eu à se prononcer sur le sujet, en tant que conseillers régionaux.

11 sept. 2012

Alain Lambert à St-Ceneri : « De mesquines critiques »

Le président du conseil général, Alain Lambert, vient de s'adresser aux habitants de  Saint-Céneri-le-Gerei, à l'occasion des 30 ans des plus beaux villages de France.
Sur son blog, il reprend les propos qu'il a adressés aux Girois : « J'ai dit combien cette union sacrée pour le village était indestructible, et que les mesquines critiques qui nous jalousent n'auraient jamais raison ni de notre volonté de continuer ensemble, ni raison de notre amitié. J'ai assuré les Girois que les critiques qu'on lisait parfois dans la presse sur ma présence à Le président du conseil général, Alain Lambert, vient de s'adresser aux habitants de Saint-le-Gerei, à l'occasion des 30 ans des plus beaux villages de France.
Sur son blog, il reprend les propos qu'il a adressés aux Girois : « J'ai dit combien cette union sacrée pour le village était indestructible, et que les mesquines critiques qui nous jalousent n'auraient jamais raison ni de notre volonté de continuer ensemble, ni raison de notre amitié. J'ai assuré les Girois que les critiques qu'on lisait parfois dans la presse sur ma présence à Saint-Céneri, ne devaient pas les atteindre car leurs auteurs faisaient bien peu de cas de leur pouvoir souverain de choisir librement leurs élus. » Alain Lambert en a profité pour rappeler que « plus d'un million d'euros ont été consacrés à l'assainissement, l'aménagement du bourg, les équipements municipaux, l'église, l'auberge des Soeurs Moisy, pour la mise en beauté de ce site merveilleux ».
Saint-Céneri ne devaient pas les atteindre car leurs auteurs faisaient bien peu de cas de leur pouvoir souverain de choisir librement leurs élus. » Alain Lambert en a profité pour rappeler que « plus d'un million d'euros ont été consacrés à l'assainissement, l'aménagement du bourg, les équipements municipaux, l'église, l'auberge des Soeurs Moisy, pour la mise en beauté de ce site merveilleux ».

7 sept. 2012

Région : Ludovic Assier succède à V. Louwagie

 
Ludovic Assier, président du Nouveau Centre dans l'Orne, succède à la députée UMP Véronique Louwagie au conseil régional de Basse-Normandie, depuis la rentrée de septembre.


« Soucieux de la bonne utilisation des fonds publics, considérant que l'attractivité de notre région est une priorité absolue, j'entends exercer le mandat qui m'est confié dans un état d'esprit constructif, affirme-t-il. Mais vigilant et exigeant quant aux orientations cruciales que doit prendre la Basse-Normandie si elle ne veut pas s'inscrire durablement dans la surenchère fiscale, l'exode de nos forces vives. »

11 juil. 2012

Julien Tatham, lance un projet artistique de « crowdfunding »

Julien Tatham, un nom bien connu des Girois et Mathieu Mirol, deux Normands installés à Bruxelles, lancent un projet artistique « because we don't know this place », un spectacle où Julien est metteur en scène et vidéaste, Mathieu compositeur et musicien, en s'appuyant sur le crowdfunding, un financement participatif très utilisé dans les pays anglophones mais rare en France.Qu'est-ce que le crowdfunding ?
Vous avez un projet, les banquiers sont frileux, utilisez le « financement participatif ». En clair, vous présentez votre projet sur un site, l'internaute qui trouve l'idée intéressante peut investir sur votre idée. Vous levez des fonds pour démarrer le projet, les investisseurs, particuliers, sociétés, entreprises... reçoivent des contreparties de toute nature en échange. Le système très utilisé aux USA, réglementé par une loi JOBS, démarre doucement en France mais il a permis de créer une brasserie à la Goutte d'Or à Paris, le lancement d'une montre à encre électronique Pebble... KissKissBank, Ulule, Friendsclear, Wiseed en France servent d'intermédiaires pour lancer les projets.
Le projet des deux Normands
Julien précise, « nous avons un court délai pour récolter les fonds d'investisseurs pour produire notre spectacle. Si nous atteignons le niveau souhaité, un coproducteur investira la même somme. Plusieurs sociétés de production sont intéressées, nous avons des contacts avec deux centres culturels pour une programmation de notre spectacle à Bruxelles. Chaque contribution individuelle, même modeste, est importante et sera rétribuée sur les revenus des spectacles. Nous avons besoin d'entreprises et de sociétés pour établir un partenariat durable. Nous avons des contacts dans plusieurs pays d'Europe pour diffuser le spectacle. Notre partenaire est Ulule. » Une démarche innovante de deux jeunes qui croient en leur projet et méritent d'être aidés.
Informations et contacts
Site www.ulule.com/because/. Page officielle : reflecting story.com/because/. Facebook : facebook.com/because.performance. Films-rencontres sur le projet artistique : http://bit.ly/Ol55dr ou http://bit.ly/LhjQyC.. Contact Julien Tatham, tél. +32 47 42 67 264 . Chaussée de Boondael 40. 1050. Bruxelles.

3 juil. 2012

Alain Lambert rencontre les frondeurs à huis clos

Le président du conseil général de l'Orne a rencontré dimanche Jérôme Nury et Patrick Mussat. Une guerre d'usure est lancée entre Orne Avenir et Alain Lambert.


C'est un peu la « drôle de guerre » où chacun compte ses troupes en se regardant de part et d'autre de la ligne de front. Le torchon brûle entre le groupe Orne Avenir et le président du conseil général, Alain Lambert, depuis déjà une semaine. Certains parlementaires prédisent un départ d'Alain Lambert « avant le 14 juillet ». Mais d'autres conseillers généraux parient sur la ténacité du patron du département, et l'effritement du « groupe des 20 » qui réclame la démission du président. Sans qu'aucun n'ait confirmé l'information, trois ou quatre « frondeurs » regretteraient de s'être engagés dans ce mouvement d'opposants à Alain Lambert « C'est à n'y rien comprendre : Alain Lambert a annoncé qu'il quitterait la présidence dans 22 mois en 2014. Le faire partir maintenant de l'Orne, c'est se tirer une balle dans le pied. Alain Lambert est le seul capable de boucler le montage du budget 2013 de l'Orne. Il a fait beaucoup pour l'Orne », martèle le maire (UMP dissident) de Vimoutiers, Guy Romain.« Des questions de politique nationale »
En coulisses, les tractations vont bon train : le président du conseil général de l'Orne a confirmé hier « avoir rencontré Patrick Mussat et Jérôme Nury, alors que j'étais moi-même accompagné du conseiller général André Dubuisson ». Rencontre qui s'est déroulée à l'hôtel du département. Curieusement, Jérôme Nury n'a voulu « ni infirmer, ni confirmer cette rencontre », alors qu'Alain Lambert n'a fait aucune difficulté pour en parler. Et l'a qualifiée de « dialogue courtois. J'ai compris que la nature de notre différend portait sur des questions de politique nationale et ne visent en aucun cas des questions de gestion du département ». Selon Alain Lambert, les deux parties sont convenues de se revoir.
Côté « Orne Avenir », le groupe qui réclame le départ d'Alain Lambert a confirmé hier « maintenir sa menace de refus de siéger à la commission permanente » qui doit se tenir vendredi 6 juillet. Une menace que relativise Alain Lambert, qui n'a rien perdu de sa détermination et parie sur une guerre des nerfs et d'usure : « l'obligation du quorum, lors de la commission permanente, tombe lors de la seconde convocation », précise le président du conseil général. Autrement dit : plus de quorum obligatoire si une seconde convocation est nécessaire en commission permanente. « Mais il faudra faire payer aux contribuables Ornais ces frais de déplacement inutiles des conseillers généraux venus lors de la première commission permanente ».
« Bouc émissaire »
Hier après-midi, des adhérents du Nouveau-centre Ornais ont pris fait et cause pour Alain Lambert : Bruno Charuel, Marie-Noëlle Hoffmann, Marc Lepicard, Patrick Lindet, Ken Tatham ont signé un communiqué dans lequel ils posent une question : « vingt conseillers généraux autoproclamés Avenir de l'Orne pensent-ils sincèrement servir notre département par leur excès de langage et voie de presse interposée ? [...] Alain Lambert mérite-t-il un tel assaut de haine, d'ingratitude et d'indignité ? Doit-on rappeler ce que l'Orne et nombre de ces conseillers généraux lui doivent ? [...] Les candidats déçus ne doivent pas faire du président du conseil général le bouc émissaire de leurs échecs ».
Resté silencieux depuis le début de la crise, le sénateur-maire de Mortagne-au-Perche, Jean-Claude Lenoir, a « nié formellement » apporter son appui au groupe des frondeurs. Quand bien même Guy Romain, à Vimoutiers, n'en démord pas : « tout ça a démarré avec les sénatoriales : Jean-Claude Lenoir et Alain Lambert se détestent ! ». Alain Lambert mène une guerre d'usure et rappelle que « si Jérôme Nury veut être le prochain président du conseil général, il devra donc abandonner son mandat de maire de Tinchebray, puisqu'il n'a pas de mandat de parlementaire. Quant à Patrick Mussat, il est encore plus occupé que moi à Paris ». Entre Alain Lambert et Orne Avenir, c'est coup pour coup.

2 juil. 2012

Le nouveau centre soutient Alain Lambert


Le nouveau centre soutient Alain Lambert

Politique lundi 02 juillet 2012

Patrick Lindet, délégué départemental du Centre Orne, et quatre autres centristes (Bruno Charuel, Marie-Noëlle Hoffmann, Marc Lepicard, Ken Tatham), viennent de signer un communiqué intitulé «et si on pensait à l'Orne et aux Ornais». Ils se demandent si «Alain Lambert mérite un tel assaut de haine, d'ingratitude et d'indignité? Doit-on rappeler ce que l'Orne et nombre de ces conseillers généraux lui doivent? Les candidats déçus ne doivent donc pas faire du président du conseil général le bouc émissaire de leurs échecs». Et ils en appellent à un «dialogue franc, serein et respectueux des personnes, autour d'une table et non sur la place publique, afin que les uns et les autres puissent sortir de cette crise dans la dignité, pour le seul intérêt de l'Orne et des Ornais».

29 juin 2012

Saint-Cénéri ne veut pas de la polémique Lambert

La commune de Saint-Céneri-le-Gerei ne veut pas que la fronde des vingt conseillers généraux contre le président du département Alain Lambert s'invite chez elle. Le conseil municipal a exprimé ce souhait jeudi dans un communiqué. « Dans les débats politiques concernant Alain Lambert et auxquels nous nous refusons de prendre part, notre joli village est souvent cité. Comme nous souhaitons lever toute ambiguïté, nous voulons qu'il soit clair qu'Alain Lambert a été élu et réélu à  Saint-Céneri, comme conseiller municipal, qu'il y a apporté exactement ce que nous attendions de lui et nous n'avons, pour notre part, qu'à nous louer de l'avoir comme collègue. Nous ne souhaitons donc pas être considérés comme partie prenante de ce débat politique qui ne nous concerne pas. »

29 avr. 2012

Ken’s Norman conquest



Leeds, Sheffield, Bradford and Wakefield could soon join Doncaster and have an elected mayor. In France a Yorkshireman has done the job for 17 years. John Woodcock meets Ken Tatham.
It’s hardly in the league of Agincourt or the Battle of Waterloo, but in a sublime corner of Normandy Ken Tatham is completing a unique contribution to Anglo-French history.
If the village of Saint Céneri-le-Gérei was sceptical about English rule after its sufferings during the Hundred Years War, the Yorkshireman has done much to change perceptions over nearly two decades.
The first British mayor in France can point to tangible municipal improvements since being voted into power after his French wife, Christiane, wearied over his carping at how things were done in his adopted home.
“If you can do better…” was her challenge, and by common consent he has. He’s twice been re-elected, suggesting that improved street lighting, sewers and car parking are preferable legacies of conquest to when the village’s castle was besieged for months and then demolished by 15,000 English invaders in 1434.
Tatham has opted for peaceful revolution in bringing about change, and is no radical from the Ken Livingstone mould. “Forget Red Ken,” he says. “People here call me French Ken. In my role I’m apolitical. My personal views used to be somewhat Thatcherite but now I’m probably more LibDem.”
His reputation is such that the Normandy Tourism Board included him on a promotional tour of Britons who are making a difference in the region – from those who provide accommodation in historic chateaux, to guides, an author, and a chap who’s established an eco-friendly golf course.
There are more than 22,500 full and part-time British residents in Lower Normandy alone according to one of their number, Alison Weatherhead, who works for the tourist board and is based in Evreux. She also has strong links with Yorkshire – her parents were born in Keighley and an uncle worked on the Yorkshire Post.
Tatham has lived in Saint Céneri-le-Gérei for 45 years and plans to retire in 2014 when he’ll be 68. It coincides with France’s decision to scrap some of its 36,782 elected mayors (a report concluded that the country was over-administered) just when England is encouraging them. In a referendum on May 3, voters in 10 English cities will decide if they should adopt the system, and a yes vote will mean mayoral elections in November.
Can the right elected individual can make a significant difference in challenging times? Here beside the river Sarthe, in the village named after a seventh-century Italian saint and officially listed as one of the most beautiful in France, the evidence is yes.
The warm stonework of Saint Céneri-le-Gérei could transfer easily to the dales of Yorkshire and the exent to which it is having to adapt to upheavals in rural life in the department of Orne strikes a familiar chord.
It once had 15 farms and now has three and its not agriculture which now drives the local economy but tourism.
Since the village shop closed the nearest source for bread, groceries and postal services is four kilometres away. There are grumbles among locals about rising prices. Several residents among the population of 140 commute to Paris and spend only weekends in the village, joined by thousands of visitors in summer.
Monsieur le Maire has plenty to keep him occupied. His legal powers are significant. He’s responsible for registering births, deaths and marriages. When the gendarmes are on his patch, technically he’s in charge of them. He’s also a social worker and sometimes chief mourner.
Mayors in France, he explained, provide a personal contact point for their citizens, especially now that many villages are losing their priests, schoolteachers and shopkeepers.
Ken Tatham handles planning matters and administers an annual budget of €100,000, provided jointly by the state and from local taxes. It pays for a village gardener and the mayor’s part-time secretary and also contributed to the cost of unsightly electricity and phone lines being laid underground.
Ken has used non-Gallic charm to persuade higher authorities to finance the village’s restored ancient church. He’s responsible for the upkeep of 12 kms of minor roads. Electors have called him for advice about all manner of personal problems – a lost dog, a sick wife. He resolved the delicate case of a family burial involving a brother and sister who hadn’t spoken for 65 years after a quarrel.
For doing all this Ken receives no salary, but does get expenses of around €500 a month. He’s also earned a Marianne d’Or, described as a kind of French municipal Oscar. He would like to have done more and four years ventured into bigger-league politics. But he only captured 20 per cent of the vote when he stood for a centre-right grouping in regional elections.
Over a lunch of Norman specialities including andouille (tripe sausage), cider and Calvados in L’Auberge des Peintres, his perfect French suggested a man far removed from his roots in Leeds.
In the aftermath of the Second World War Ken’s father was killed when his Wellington bomber crashed during a training flight shortly before his son was born in Roundhay. He grew up in Whitkirk and saw John Charles playing for Leeds United, the team he still supports. Ken’s grandfather was Leeds City Treasurer and his grandmother worked for the Coal Board.
Despite retaining his British citzenship he says he couldn’t go back. “Too many cars and traffic jams. Britain’s a small, overcrowded country and some of the changes there shock me. I’m told that fish and chip shops and pubs are fast disappearing. And your property prices…
“Things are changing here too, especially in the countryside, but one of the great things about France is its size and the sense of space. Having a bit of land with your home is not the luxury it is in England.
“As for politics, I think the principle of elected mayors is a good one. There’s greater de-centralisation here, and I’m all for encouraging that. Communities like ours have a lot more power than, say, a parish council in Yorkshire. We really can look after things locally.
“In addition a mayor has more status in France. Everyone knows you, and being the first Briton to do the job has given me a wider profile. It’s been useful in obtaining grants and assistance for local initiatives.”
Ken has also been a restaurateur, worked in the fashion business, and has a company called Take French Leave which advises those thinking of relocating to France.
It’s worked out perfectly in Saint Céneri-le-Gérei for Cephas Howard and his wife Jennifer. In the 1960s Cephas played the trumpet and euphonium in the quirky ensemble The Temperance Seven – “three Royal Variety Performances” he reminds you, “and we were knocked off the top of the hit parade by The Beatles.” Now he paints in a studio on the village’s main street and Jennifer sells antiques next door.
But not everyone has taken to the village’s charms. Some Brits returned home disillusioned. “They idealised rural France and tended not to take reality into account,” said the mayor.
“There are plenty of advantages. You can live here with less money than you’d need in England for the equivalent setting, but my advice to anyone thinking of moving would be, don’t burn your boats. Think hard. There’s more to it than having plenty of space, wonderful scenery and great food and drink, what we call forces vives – living forces, real life.
“There are practical issues like obtaining a national health card, which isn’t easy, and watching the exchange rate. Work is not easy to find these days and if you don’t speak the language you risk living in a kind of ghetto. Then there’s the problem of red tape – it’s everywhere in France. And you have to get to know the French.
“Politics are a national sport for them and even at a modest level can be horrible. In my time I’ve been threatened by certain people in Paris. I’m thinking of writing a book about it all. For all the down sides, and jokes about another English invader, they’ve got used to me.
“Frankly, we’re all damned lucky to live here.”

23 avr. 2012

18 juin 2011

Pierre-Marie Gautier succède à Jean-Claude Guérin

Pierre-Marie Gautier, 67 ans, est le nouveau président de l'office de tourisme du pays d'Alençon. Il succède à Jean-Claude Guérin, adjoint à la culture de 1989 à 2008, décédé au mois de mars.

« Jean-Claude Guérin avait souhaité que je le rejoigne, il avait besoin d'un coup de main, indique Pierre-Marie Gautier, vice-président depuis près de deux ans, très ému en évoquant la mémoire de son prédécesseur. C'était un grand monsieur, je l'aimais beaucoup. »

Libraire pendant une trentaine d'années, Pierre-Marie Gautier a été un des créateurs de la librairie Le Passage, dans le centre-ville, entreprise dont il est retraité depuis quatre ans. Ancien vice-président de la chambre de commerce et d'industrie d'Alençon, associé gérant du magasin Delys, ce grand amateur de livres a également créé, fin 2008, une petite maison d'édition, Les Éditions de l'Ornal, avec laquelle il a pour le moment édité cinq ouvrages.

Le nouveau bureau. Président, Pierre-Marie Gautier ; 1er vice-président, Jean-Claude Pavis, premier adjoint à Alençon ; 2e vice-président, Jean-Louis Leclerc (Hôtel Ibis) ; 3e vice-président, M. Gentil-Martin (hôtel-restaurant La Lentillère) ; trésorier, Daniel Bordeau ; trésorier adjoint, Arlette Chardon, présidente de l'office de tourisme du Pays Mêlois ; secrétaire, Francis Bouquerel, maire de Sées et président de l'office de tourisme du pays de Sées ; secrétaire adjoint, Sylvie Eslan, présidente de l'office de tourisme de Mamers et du Saosnois ; membre qualifié, Kenneth Tatham, maire de St Céneri, conseiller communautaire chargé du tourisme et des campings.

16 mai 2011

La 3e édition lancée devant l'Auberge Moisy

Samedi 14 mai, à 20 h, Alain Lambert, le président du conseil général, a lancé officiellement la 3e édition de Pierres en lumières, devant un lieu symbolique du patrimoine de Saint-Céneri-le-Gerei, l'Auberge des Soeurs Moisy. En présence du secrétaire général de la préfecture et de Thierry Aveline de Rossignol, délégué régional de la Fondation du Patrimoine de Basse Normandie, Alain Lambert a rappelé les objectifs: « un temps fort pour redécouvrir le patrimoine ornais en alliant pierres et lumières, pour prendre conscience de l'héritage à préserver et à transmettre aux générations futures » et l'histoire d'une opération lancée par l'ancien préfet, Michel Laffont.

Thierry Aveline de Rossignol rappelait le succès croissant des éditions, 83 projets en 2010, 103 en 2011, la Manche a lancé 40 projets, le Calvados s'y intéresse, « avec l'espoir d'une démarche régionale contagieuse. Il faut pour cela développer les partenariats comme avec Citeos pour les lumières, le mécénat... »

Après les discours officiels, guidés par Ken Tatham, le maire de Saint-Céneri, les personnalités ont pu cheminer dans le village illuminé d'un millier de lumignons, vers l'église, le chemin du presbytère, descendre vers le pré de la chapelle, la fontaine et les rives de la Sarthe, accompagnés par le Ra-Conteur en patois normand.

9 mai 2011

Hommage paroissial au monument aux morts

Yves Genissel, président des anciens combattants de la Roche Mabile, a réuni à l'occasion de la commémoration du 8 mai 1945, les 7 maires des 7 communes de la paroisse Saint-Pierre au Pays d'Alençon pour commémorer la fin de la guerre 39-45. 66 ans après la capitulation des Allemands, l'émotion est toujours aussi vive et le maire Michel Genois a rappelé qu'il y a eu 18 morts pour la France dans les 7 communes concernées et de nombreuses victimes civiles. Arborant le traditionnel bleuet les maires Michel Genois, Michel Julien, Ken Tatham, Viviane Fouquet, Jean-Pierre Parfait, Alain Lenormand et Jean Louis Richard ont observé une minute de silence avec les portes drapeaux et les pompiers de la caserne de Saint-Denis-sur-Sarthon avant de déposer une gerbe au monument aux morts pour marquer l'événement devant l'assistance venue nombreuse parmi lesquels de jeunes enfants.

24 mars 2011

Le Nouveau Centre soutient Eugène-Loïc Ermessent

Le Nouveau Centre (Ludovic Assier, président de la fédération ornaise, Ken Tatham , maire de Saint-Ceneri-le-Gerei, et Patrick Lindet, délégué départemental) estiment que « dimanche dernier, les électeurs du canton de Carrouges ont massivement renouvelé leur confiance au conseiller général sortant Eugène-Loïc Ermessent. Par ce choix, les habitants du canton ont manifesté leur attachement au travail de proximité réalisé par cet humaniste convaincu, cet homme d'écoute et d'action au service de ce beau territoire et de ses habitants. [...] En servant le tourisme, l'agriculture et l'environnement en parfaite harmonie, il sert l'emploi. En réunissant tous les talents autour de cette tâche, il favorise l'avenir de l'Orne, l'avenir du canton de Carrouges. Dimanche prochain, au deuxième tour, accordons-lui nos suffrages pour que le canton de Carrouges et notre département puissent continuer à prospérer. Votons Eugène-Loïc Ermessent ! »

23 mars 2011

French civil servant's confession strikes a chord in drive to shrink state

French civil servant's confession strikes a chord in drive to shrink state

The French public services are vast, expensive and notoriously complex. But reform is the country's great political taboo
ken tatham, mayor of St Ceneri le Gerei and Arsene Guilmeau, deputy mayor
Ken Tatham, right, British-born mayor of St Céneri le Gerei. 'They could do with a bit of Mrs Thatcher here,' he says. Photograph: Jean Francois Monier/AFP
Aurélie Boullet is an unlikely whistleblower. A straight-A student, she attended Paris's most prestigious universities and won a coveted place to train as a high-ranking civil servant in local government. On the first morning in her first job at the regional council of Aquitaine, she immediately felt there was something very wrong. Her first task took her an hour, but she was told it was a week's work.
"It was a sheer waste of time. There are plenty of people and not enough work. So there are a lot of people who have nothing to do," she says. "They go on Facebook, they chat, they go to endless meetings and spend a lot of their day complaining about being overworked."
Writing under a pen name Zoé Shepherd, she started a blog documenting the daily grind of not having enough to do. Her blog picked up hundreds of followers from all over France, many also languishing in dusty corners of government with not enough to do.
"These are not people celebrating being able to be lazy, but frustrated that they can't do more," she says. The blog became a book, Absolument Debordée (Absolutely snowed under), Boullet was exposed by a colleague and, amid a blizzard of publicity last June, she was suspended. Her employers issued a statement accusing her of producing a 300-page "denigration" of her colleagues. "One more drop in the populist anti-civil servant discourse that we hear too often," it said.
The book provided ammunition for those on the right who believe that the French president Nicolas Sarkozy should be pushing through plans to shrink the state. It also coincided with renewed pressure from the EU for member states to bring deficits under control – a thought that has not much troubled a French leader since the last time the budget was balanced in 1976.
A "natural wastage" policy of reducing the civil service by not replacing half of retirees was extended at the budget last autumn as part of the €45bn (£39bn) deficit reduction programme. The ministries are being reorganised to reduce costs and every part of government – other than higher education – has had its funding frozen.
To understand the scale and complexity of the French state, you might start at its most local point, for example, in the mayor's office of Saint-Céneri-le-Gérei, a picturesque village with a population of 140 people in Basse (lower) Normandie. It has a river bubbling through it, a church that draws up to 5,000 visitors in a high-season weekend and ancient ruins of a castle bearing the scars of battles with the British.
Ken Tatham, the UK-born mayor, has powers to determine local taxes, register births, deaths and marriages, and controls a budget of €100,000. Over the years he's been the first official called to the scene of five suicides. He spent last weekend negotiating a lost Polish lorry that got stuck in a lane.
"If anything goes wrong or if there's any sort of problem they come and see me. They've lost a dog? They ring me up. Their wife is ill? They ring me," he says.
The mayor is at the heart of civic life, but above that are several layers of local and regional government, each with its own responsibilities, tax powers, independence and back office.
Tatham takes me down to the bridge across the river that bisects his village in an attempt to explain how France in governed. On one side is the département of Sarthe, on the other is the départment of Orne. Cross the bridge and he loses all power. Two other authorities have responsibility for the road crossing the bridge and a tiny metal button nestled in the brickwork marks the boundary.
"No doubt about it, the French state is too complicated; nobody understands it. When things are that complicated it makes civil servants very powerful because only they understand how it works," he says.
A huge reorganisation of regional government is under way, with plans to merge the councillors of 96 départements, created by Napoleon and designed for a man on a horse to cross in a day, with 22 regional councils. The last elections for the old-style départements were held on Sunday.
Ostensibly the reforms are about rationalisation and efficiencies, but most suspect a political motive. Merging the two will dilute the Socialist party's domination of the regions with the vote from the départements, which tend to go to the right. It's as yet unclear how it will affect the two separate administrations.
Tatham is sceptical: "I doubt the reforms will help. They are going to create something just as difficult. I'm sure it will create more jobs."
The reforms are being driven by Alain Lambert, president of Orne département, which contains Saint Céneri. A powerful politician on the right of the UMP, he was the budget minister in Paris until 2004 and has been the driving force for the reforms. But even he acknowledges the difficulty, describing the changes as "about as easy to achieve as banning the kilt in Scotland" because they mean job losses for elected councillors and upheaval for the civil service.
Lambert said he believes half of the civil service should be sacked immediately as a "wake-up call" for the country.
"Administrations pass on their complexities to families and businesses with more and more Kafkaesque regulations, then harass them with audits which paralyse both public and private activity and initiatives," he says.
Lambert says reform is frustrated by the sheer size, weight and power of the civil service. "In France, these administrations dominate the political body, even become merged with it," he says.
Tatham, who was born in Leeds but has lived in the village for 44 years, blames the threat of strike from the unions. "They could do with a bit of Mrs Thatcher here," he says.
Michele Kauffer is secretary of the public services union within the General Confederation of Labour (CGT), France's best-known union. The CGT offices are in a monolithic concrete building on the outskirts of Paris with a whiff of the 1980s about them.
Kauffer says that though the cuts seem small on international comparisons, the reality is bigger. The policy of not replacing one of every two people who leave has removed 100,000 posts so far. The effects have been profound: fewer teachers and nurses, who are employed centrally by the state and considered to be civil servants. Meanwhile, councils have taken on more and more responsibilities from roads to vocational qualifications and social services, without extra money, meaning some that are so inclined are rapidly privatising provision – resulting in increased fees for the public.
She also cites a subtle chipping away at civil servants' employment rights. A 1994 law that allowed local authorities to sack workers who lost their job when a service was closed but refused to take three alternative jobs, has been extended to all civil servants. In reality it is rarely used, but there are fears it will be.
"It is still a job for life but there are attacks on that," says Kauffer. "We have more tasks, less good working conditions and we also have dissatisfaction of a job which is not well done. Stress is an emerging problem. This was never the case before."
But even some progressives on the left believe reforms are needed. Richard Descoings, director of the Sciences Po in Paris, France's most prestigious school of political science, and a former adviser to the government's budget ministry, said: "Globally, yes, we have too many public servants.
"But when you ask, do you think there are enough nurses in the hospitals, then the answer's no. If you ask do you find it normal to have 35 students in a class, it's too big."
Thierry Dedieu, of the French Democratic Confederation of Labour, France's biggest trade union group, said the blanket policy of not replacing people was "ridiculous", leaving schools under-staffed and not touching other areas.
"It is a job for life and you can't be sacked unless it is very, very serious, and because of this you might have some people not working as efficiently as everybody else," he said. "But in other [areas of the] public sector, people are suffering. You might have a divide in people who are working incredibly hard and others who are not incentivised by that lifelong employment."
Boullet, who insists that as a civil servant she is entirely apolitical, agrees. "There are not enough teachers, not enough nurses, not enough police – but too many people in the back offices," she said. She blamed locally elected councillors for stuffing their back offices with staff as a show of power.
Boullet has now won a legal argument and has been reinstated in another post in the same authority.
She has more work to do, but believes she could still do more. Her €3,000-a-month salary as a senior civil servant is more than an ordinary teacher would ever earn per month in their career in France.
Most people explain Sarkozy's relative timidity to risk a fight with the unions over reform on the bruises from last year's bust-up over the change to the state pension age and the fact that he is up for re-election next year. Reform is France's great political taboo, and the timing just isn't right.
However, Owen Tudor, head of international relations in the TUC back in London, argues that we shouldn't be fooled into thinking the French cuts are insignificant.
"It's probably true to say that the French cuts are neither as fast or as deep as the UK ones," he says. "But the French trade unionists would say that it's a bigger shock to them. They would say that's what's happening is a cultural shift, whereas what's happening to us is a numerical shift in provision."
Others reason that resistance to any change runs deep in France. "The French hate change," Tatham said. "When I changed the paving stones in the centre of the village, there was an outcry. They just do not like change. It's in their genes."